Beaucoup de gens pensent que le papier toilette est inoffensif, mais saviez-vous que la plupart des papiers classiques contiennent :
- Du chlore : utilisé pour blanchir le papier, il peut laisser des traces de dioxines, des substances toxiques et perturbatrices endocriniennes.
- Des parfums et des agents adoucissants : souvent à base de composés chimiques pouvant irriter la peau et perturber la flore intime.
- Du bisphénol A (BPA) et autres perturbateurs endocriniens : présents dans le papier toilette , car il peut contenir des résidus d’encres et de papiers thermiques (tickets de caisse).
Pourquoi c’est un problème, surtout en préménopause et ménopause ?
Les muqueuses intimes sont ultra-perméables et absorbent facilement les substances chimiques. Ces toxines peuvent :
- Aggraver les déséquilibres hormonaux, notamment en période de ménopause.
- Contribuer aux irritations, sécheresses vaginales et infections urinaires fréquentes à cette période de la vie.
- Ajouter une charge toxique supplémentaire à un corps déjà soumis aux variations hormonales.
Quelles alternatives naturelles ?
- Optez pour un papier toilette non blanchi au chlore (privilégiez le TCF – Total Chlorine Free).
- Évitez les papiers parfumés ou avec agents assouplissants.
- Utilisez un papier toilette certifié sans BPA (comme ceux labellisés « écolabel » ou « sans additifs »).
- Adoptez des alternatives réutilisables (lingettes lavables, bidet) pour une approche plus écologique et saine.
Petit geste, grand impact !
Changer son papier toilette semble anodin, mais c’est une façon simple de réduire son exposition aux perturbateurs endocriniens et de mieux prendre soin de sa santé intime. En ménopause, chaque détail compte pour préserver son équilibre hormonal !